MARIE ANTOINETTE BARBARÉ
(1674-avant 1721)

Cette section de la famille Auger a été un défi, et ceux qui leur sont associés.

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          I found the birth of Marie Antoinette Barabé dans les registres paroissiaux de Trois-Rivières, Québec. Elle est née le 15 octobre 1674 de parents Nicolas Barabé et Michelle Ouinville, l'une des"Filles du Roi". Il semblerait que Nicolas soit décédé après la naissance de sa sœur cadette Marie Madeleine, en mai 1676, et le 26 août de la même année, la mère d'Antoinette fit dresser un contrat notarié qui l'identifie comme la veuve de Nicolas Barabé.

          The 12th of April 1677 , un notaire rédige un contrat de mariage entre sa mère et Michel Lemay où le notaire l'identifie à nouveau comme la veuve de Nicolas Barabé. Antoinette n'aurait eu que trois ans. Elle aurait très probablement considéré Michel Lemay comme son père. 

          I found an interesting article surMichel Lemay et l'histoire de la famille Lemay qui éclairera davantage les Barabé et peut-être Louis Auger lui-même.

          Michel Lemay was a man qui n'a pas ramassé de mousse sur ses pieds. Plutôt que de s'installer dans les lieux les plus probables du nouveau monde, il parcourt les rives entre le Cap de la Madeleine et Trois-Rivières. Arrivé en Amérique du Nord en 1653/4 en tant que jeune homme dans la vingtaine.

Ce n'est qu'après avoir épousé sa première épouse, Marie Dutaut ou Dutost, qu'il s'installe quelque peu à Trois-Rivières, où il fonde sa famille. Son mariage a eu lieu en 1659 et le premier enfant est né au cours de la première année.

          Over the next sixteen years , jusqu'à sa mort en 1675, le couple a produit au moins huit enfants. Sa passion pour la pêche à l'anguille compléterait sa vie et le maintiendrait dans la région.

          Two years after Marie's death , en 1677 Michel Lemay et Michelle Ouinville (la mère de Marie-Antoinette) se sont mariés selon certains à la Côte Champlain, probablement près de Trois-Rivières, mais aucun document n'est disponible pour le confirmer.

René-Louis Chartier, seigneur de Lotbinière, accorda à Michel des terres dans le comté et des droits de pêche à Pointe-Ste-Croix, près de Lotbinière et c'est ici qu'il s'établit pour le reste de ses jours.

          According to research, the Les Lemays étaient fortement impliqués dans la pêche et le commerce des fourrures et ont obtenu des permis convoités par beaucoup. C'est peut-être ainsi que Louis est venu à Trois-Rivières. Malgré les tentatives, en 1641, la population de la Nouvelle-France était bien en deçà des 4 000 promis dans la ville basse. La traite des fourrures est lucrative et de riches terres sont disponibles le long des rives du Saint-Laurent.

          Lemays being heavily involved in la traite des fourrures obtient des permis de chasse convoités par plusieurs. C'est peut-être ainsi que Louis est venu à Lotbinière pour faire fortune ? La traite des fourrures était l'un des métiers les plus lucratifs de l'époque.

          Michel Lemay was himself an pêcheur d'anguilles avec une entreprise rentable. Le seigneur René-Louis Chartier de Lotbinière (1641-1709) lui offre une concession à Lotbinière avec les rites de pêche en échange d'un pourcentage de ses prises. Dans une bonne saison, ils pouvaient attraper jusqu'à 70 000 anguilles, après quoi, une fois séchées et stockées dans des barils, elles fourniraient un bon revenu car elles rapporteraient 25 à 30 £ le baril au marché.

          In 1679, Jean Lemoyne livré à la famille Lemay, « un moulin à vent avec toutes les pièces, prêt à moudre le blé en farine ». Le prix était de 80 livres, soit 3 livres la centaine d'anguilles.  (Source :  Thomas J. Laforest du livre Michel Lemay dit Poudrier). Cela prouverait également le succès de Michel Lemay en tant qu'entrepreneur dans la région. A sa mort en 1684, sa veuve aurait été une femme riche. Antoinette aurait été une compagne désirable.

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ADDENDA : Les noms Auger, Lemay et Maillot s'entremêlent plusieurs fois au fil des générations.

NOTE : d'ascendance française, ils sont tous originaires de la même région de France. Boissonneau et Auger sont tous deux originaires de Saintonge et du Côté de Mortagne, Perche, également possession d'Henri II Plantagenêt.